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La Voix d’Aïda : quand le cinéma rappelle la faillite du système international à Srebrenica
En juillet 1995, au cœur de l’Europe, plus de 8000 hommes et garçons bosniaques furent exécutés par les forces serbes de Bosnie autour de Srebrenica. Vingt ans plus tard, ce nom résonne comme celui du plus grand massacre commis sur le continent depuis la Seconde Guerre mondiale. Pourtant, il ne s’agit pas seulement d'une tragédie locale : c’est aussi le symbole d’une faillite du système international censé protéger les populations civiles.
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Une mémoire à réparer : reconnaître le génocide des Roms en France
Dans la nuit du 2 au 3 août 1944, les derniers survivants du Zigeunerlager d'Auschwitz-Birkenau soit 4300 hommes, femmes et enfants roms, sintis, manouches, gitans, yéniches, furent massacrés. Pourtant, en France, cette tragédie reste largement méconnue, ignorée, voire même niée par l'Etat. Pourquoi ce silence ? Pourquoi la reconnaissance tarde-t-elle ?
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5 juin 1967 - 5 juin 2025 : La guerre des Six Jours, fracture originelle d’une tragédie inachevée
Il y a 58 ans jour pour jour, une guerre de six jours scellait un tournant décisif dans l’histoire contemporaine du Proche-Orient. Le conflit éclair qui opposa Israël à ses voisins arabes, l’Égypte, la Jordanie, la Syrie, avec la participation indirecte de l’Irak, du 5 au 10 juin 1967, a durablement façonné la géopolitique de la région.
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L'autre 8 mai 1945 : Sétif, Guelma, Kherrat - la mémoire occultée d'un massacre colonial
Le 8 mai 1945, la France fête la victoire sur le nazisme, symbole de liberté retrouvée. Mais en Algérie, à Sétif, Guelma et Kherrata, ce jour marque des massacres sanglants réprimant violemment des manifestations indépendantistes. Cet "autre 8 mai" révèle les fractures du système colonial français et reste un épisode douloureux, longtemps occulté, de l’histoire franco-algérienne.
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Effacer pour régner : la négation du génocide arménien, une stratégie d’état
Chaque 24 avril, les voix se lèvent à travers le monde pour commémorer le génocide arménien, ce crime de masse perpétré par l’Empire ottoman à partir de 1915, et qui coûta la vie à plus d’un million d’Arménien.e.s. Pourtant, malgré l’évidence historique largement établie, des États continuent de nier ou d’éviter la reconnaissance formelle de ce génocide. Pourquoi ce refus ? Et quel en est l’impact sur la mémoire collective, la justice historique et la stabilité politique cont
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